– Pouvez-vous vous présenter ?
Depuis des années je prône par mes actions la Prospérité Equitable dans la Sobriété. Spécialiste des questions sociales et environnementales, je travaille à relever les défis du 21ème siècle dont j’ai pris conscience par ma double formation d’économiste et de géographe, dans mes fonctions en entreprise et mon engagement associatif. Je mène de front le combat environnemental et social, convaincue que les inégalités environnementales sont souvent le corollaire des inégalités sociales.
La sobriété doit être mise en œuvre dans tous les secteurs mais pas seulement énergétiques, les chaînes de valeur doivent être transformées mais attention cette sobriété doit être corrélée avec une prospérité – et oui certains certaines ont besoin de prospérité – équitable par une juste répartition
– Pourquoi avez-vous accepté d’être membre du jury des Prix DAPAT ?
L’Autre est une chance comme disent les Petits Débrouillards mouvement d’éducation populaire par les sciences pour les sciences auprès des jeunes et des moins jeunes où je suis Trésorière, – Membre de la Fédération des acteurs de la solidarité. Et comme le rappelle Droits d’Urgence nous avons tous et toutes le droit d’être quelqu’un/quelqu’une . C’est pourquoi quand Danielle et Patrick m’ont demandé d’être membre du jury je n’ai pas hésité au vu des actions engagées par DAPAT pour les femmes en détresse.
– Quels impacts espérez-vous que le Prix DAPAT puisse avoir pour les projets soutenus et leurs bénéficiaires ?
J’espère que les trophées permettront à toutes les associations récompensées mais aussi toutes celles qui font, agissent et aident toutes les femmes et leur famille en détresse dans le respect de chacune et chacun.
Le projet de foncière retient aussi particulièrement mon attention car on le sait les lieux d’échange, de partage sont essentiels pour que chacune et chacun puisse se construire et/ou se reconstruire.